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C'est le travail réalisé par l'artiste italien Rino Stefano Tagliafierro.
Pourquoi vous en parler aujourd'hui ?
Parce que depuis, le mastodonte Facebook a décidé de censurer son œuvre ! L’artiste a réagit à l'entrave absurde de ce système qui porte atteinte à la liberté des arts.
Élaboré en cinq mois, la vidéo d'animation Beauty dévoile des paysages, des scènes et des personnages d’œuvres picturales de renom. Soutenue par la bande musicale onirique d'Enrico ASCOLI. Le film offre une sublimation garantie en mélangeant une sensation d'étrangeté, avec la naissance du mouvement des corps inertes, et l'expérience d'une intrusion au cœur de paysages surréalistes.
L'artiste a revisité une centaine de tableaux et remodèle les émotions en animant et spatialisant ces œuvres picturales. L’œuvre révèle une technique maîtrisée et réalisée avec le plus grand soin. Elle dévoile un propos sur les émotions de la vie, de la naissance à la mort en passant par l'amour et la sexualité. On peut entre-autres y redécouvrir les chefs-d’œuvre de Rembrandt, Vermeer, du Caravage, Rembrandt, Rubens, Goya ou encore Géricault.
En invoquant la présence de nudité dans son œuvre et d'images violentes, le système Facebook a bloqué la diffusion de son travail sur le réseau social. La réaction de l'artiste ne s'est pas faite attendre, en publiant une version censurée de son œuvre sous une nouvelle égide : "Facebook bans art." Avec cette nouvelle version, Stefano engage une réflexion sur "Comment Facebook veut nous monter l'art et la culture." A quoi ressemblerait les œuvres singulières si elles étaient toutes dictées par les conditions et algorithmes du réseau sociale ?
Aujourd’hui, certaines peintures, sculptures ou photographies représentant de la nudité font les frais d’une politique de modération qui frôle parfois l'absurdité. La dernière en date : Une oeuvre de 20 000 ans avant JC, la Vénus de Willendorf conservée au Musée d’histoires naturelles de Vienne. L'institution n'avait d'ailleurs pas tardé réagir : «Un objet archéologique, et tout particulièrement une icône de ce type, ne doit pas être interdit sur Facebook, pas plus qu’aucune autre œuvre d’art ».
Visionnez un aperçu du travail de Stefano avec sa version censurée :
Si vous avez dix minutes devant-vous, nous vous conseillons de vous installer confortablement et de brancher vos écouteurs avant de lancer la vidéo la version longue.
"Tout vient de mon besoin de raconter les émotions, celles que tout le monde éprouve chaque jour." Stefano Tagliafierro - Journal LA STAMPA
"A path of sighs through the emotions of life, from birth to death, love and sexuality through pain and fear. A tribute to the art, to life and their disarming beauty."
A visiter : Site de l'artiste
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